Jeudi, je n’en peux plus. Je décide de prendre congé en après-midi et je me monte à la chasse. J’arrive à la cabane vers 3h30. Je suis choqué parce qu’il est tard. Je ramasse mon stock en catastrophe, je saute sur le 4 trou et décolle. En arrivant à mon site, J’envois un leurs à chevreuil sur les arbustes ambiant et je coupe mes pommes en morceaux avec mon couteau pour augmenter les odeurs.
Je monte sur ma plate-forme et j’attends. Rien n’a bougé de la soirée à part les écureuils qui mon fait sursauter plus d’une fois en sautant dans les feuilles. J’observe la plantation de fond en comble toute la soirée sans jamais rien voir.
Le brunante arrive et le vent ce calme. Je suis gelé bord en bord et je pense à m’en aller, même s’il reste environ 20 min de clarté. Mais je me dis que les dernière minutes sont critique et je décide de rester. Je regarde au loin pour une dernière fois quand mes yeux s’arrêtent sur quelque chose de bizarre. Je ne vois rien de spécial car c’est loin, environ 450’ mais mes yeux ne veulent pas décoller de là. Tout à coup ça bouge mais je ne sais pas c’est quoi. Avec la noirceur et la distance, je ne peux pas identifier c’est quoi mais je suis persuadé que je n’ai pas rêvé. Soudain, je commence à entendre des pas distinct et le vois apparaît mais il est trop loin pour voir le nombre de pointes mais ils s’approche rapidement s’en ce méfier, ce qui me surprend pour un mâle de cette grosseur. Il se rend dans mes pommes en quelques secondes. Il renifle les arbuste que j’ai imbiber de leurs et il s’empare de quelque pommes. Il est à 60’ face à moi, le nez dans les pommes. J’appui mon arbalète sur mon garde et je place ma crois. Je sais que ce n’est pas la position idéale mais je sais que je peut atteindre le vitale. La noirceur arrive vite et je n’ai plus une minute à perdre. Mon cœur bas plus fort que d’habitude mais je suis surpris à quel point je suis calme Lorsqu’il se penche pour prendre une pomme, Je vise entre les 2 épaules et je tire. J’entends la flèche toucher du solide et il décolle à grand saut comme si rien était. Il prend la direction du bois à ma gauche et il disparaît derrière un gros sapin et le voilà qu’il revient sur ses pas et s’effondre dans la plantation apprêt une course d’environ 150’. J’en crois pas mes yeux, il est tombé. Mon cœur bas à toute vitesse. Je me calme petit à petit et je me répète de ne pas descendre tout de suite et d’attendre environ 30 minutes. Je n’ai pas de montre mais j’estime que c’est le temps d’y aller. Il fait totalement noir. Je vais au pomme et je prends la direction où je l’ai vue la dernière fois. Je marche tranquillement et je regarde partout avec ma lampe de poche. Après quelque pied, je le vois à 30 pieds de moi sur tous son long mais il a la tête dans les aire et il me regarde. Mon arme chargée sous mon bras, je m’empresse de prendre mes petites jumelle dans mes poches et de lui lancer dessus. Il est bien mort. Je m’empresse de lui sauter dessus. Il est magnifique, comme je le voyais dans mes rêves. Je compte ses pointes en vitesse.
Il y en a 8, j’en reviens pas comme il est gros et son panache est énorme. Je saute sur mon VTT et je vais chercher de l’aide pour vider cette grosse bête. Le propriétaire de la terre, monsieur Ronald Coté et sa femme sont venus m’aider.
Lui non plus n’en revenait pas comme il était gros. C’est une fois pendu au chalet que j’ai mesurer sont panache qui mesurait 19.75’’ Une semaine après, à ma grande joie, le boucher me confirmais qu’il pesait 215 livres éviscéré. J’en suis très fier